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Qu’est-ce que le vocabulaire totalitaire ? | Comprendre l’arnaque #1

Dans cette vidéo, j’analyse l’importance de la langue, de la syntaxe et plus largement du vocabulaire. Il est très fréquent que des termes comme « immigration » ou « divertissement » soient utilisés pour masquer ou altérer le réel. Adaptons notre vocabulaire afin d’infuser les esprits.

Par Haltérophilo, il y a 9 moisjanvier 5, 2024

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🚨 « Le bien qui ne peut naître que du bien ! »

Entrevue avec @pierrehillard.officiel

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🚨 « Le bien qui ne peut naître que du bien ! » Entrevue avec @pierrehillard.officiel La suite sur ma chaîne YouTube

2 mois ago

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🚨 « C’est l’Église qui est le socle et rien d’autre. » En direct avec Pierre Hillard, suite ici : 🔗https://youtube.com/live/FwpMu0r75-I https://t.me/halterophilo

3 mois ago

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« Nous voulons que la nation nous délivre du joug des congrégations économiques, des chantages de presse, de la tyrannie des comités, du fléau des orateurs, du poison des sociétés secrètes, de la stupidité des démagogues. »

Henri Béraud, 1944.

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« Nous voulons que la nation nous délivre du joug des congrégations économiques, des chantages de presse, de la tyrannie des comités, du fléau des orateurs, du poison des sociétés secrètes, de la stupidité des démagogues. » Henri Béraud, 1944.

3 mois ago

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Albert Anker est né en 1831 à Anet, dans le Seeland. Il a suivi une formation classique de peintre dans l’atelier du Vaudois Charles Gleyre à Paris. Dans ses débuts, il a exploré un style artistique influencé par le classicisme de Jean-Auguste-Dominique Ingres.

Homme cultivé, lisant des livres dans 5 langues différentes, Albert Anker s’est intéressé aux questions sociales, politiques et éducatives de son époque. Dans ses tableaux, il ne dénonce pas, mais illustre les valeurs rurales et bourgeoises dans un style pictural réaliste. Toutefois, les lecteurs de journaux ou les élèves d’Anker témoignent aussi de l’émancipation d’une population rurale qui aspire à devenir une communauté de citoyens bien informés et responsables. C’est à Albert Anker que l’on doit les plus beaux portraits d’enfants que le réalisme du XIXe siècle ait produit en Europe.

Albert Anker (1831-1910), Le soldat de 1830 revenant au pays (retour au pays), 1872, huile sur toile, 60 x 87 cm.

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Albert Anker est né en 1831 à Anet, dans le Seeland. Il a suivi une formation classique de peintre dans l’atelier du Vaudois Charles Gleyre à Paris. Dans ses débuts, il a exploré un style artistique influencé par le classicisme de Jean-Auguste-Dominique Ingres. Homme cultivé, lisant des livres dans 5 langues différentes, Albert Anker s’est intéressé aux questions sociales, politiques et éducatives de son époque. Dans ses tableaux, il ne dénonce pas, mais illustre les valeurs rurales et bourgeoises dans un style pictural réaliste. Toutefois, les lecteurs de journaux ou les élèves d’Anker témoignent aussi de l’émancipation d’une population rurale qui aspire à devenir une communauté de citoyens bien informés et responsables. C’est à Albert Anker que l’on doit les plus beaux portraits d’enfants que le réalisme du XIXe siècle ait produit en Europe. Albert Anker (1831-1910), Le soldat de 1830 revenant au pays (retour au pays), 1872, huile sur toile, 60 x 87 cm.

3 mois ago

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« Nous suivions le groupe qui se dirigeait vers les salons. Et je pensais : il nous faut de ces paraboles pour nous rappeler combien il est dangereux de dire la vérité en général, et la vérité chrétienne en particulier. Dangereux pour celui qui la dit ! Si nous voulons être chrétiens, soit, mais sachons de quel prix cela se paye. Il y a dix-neuf siècles que ce Prix a éte fixé…»

Denis de Rougemont, La part du Diable, 1942.

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« Nous suivions le groupe qui se dirigeait vers les salons. Et je pensais : il nous faut de ces paraboles pour nous rappeler combien il est dangereux de dire la vérité en général, et la vérité chrétienne en particulier. Dangereux pour celui qui la dit ! Si nous voulons être chrétiens, soit, mais sachons de quel prix cela se paye. Il y a dix-neuf siècles que ce Prix a éte fixé…» Denis de Rougemont, La part du Diable, 1942.

3 mois ago

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« Mentir, baiser, mourir. Il venait d'être défendu d'entreprendre autre chose. On mentait avec rage au-delà de l'imaginaire, bien au-delà du ridicule et de l'absurde, dans les journaux, sur les affiches, à pied, à cheval, en voiture. Tout le monde s'y était mis. C'est à qui mentirait plus énormément que l'autre. Bientôt, il n'y eut plus de vérité dans la ville.
Le peu qu'on y trouvait en 1914, on en était honteux à présent. Tout ce qu'on touchait était truqué, le sucre, les avions, les sandales, les confitures, les photos ; tout ce qu'on lisait, avalait, suçait, admirait, proclamait, réfutait, défendait, tout cela n'était que fantômes haineux, truquages et mascarades. Les traîtres eux-mêmes étaient faux. Le délire de mentir et de croire s'attrape comme la gale. »

Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit.

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« Mentir, baiser, mourir. Il venait d'être défendu d'entreprendre autre chose. On mentait avec rage au-delà de l'imaginaire, bien au-delà du ridicule et de l'absurde, dans les journaux, sur les affiches, à pied, à cheval, en voiture. Tout le monde s'y était mis. C'est à qui mentirait plus énormément que l'autre. Bientôt, il n'y eut plus de vérité dans la ville. Le peu qu'on y trouvait en 1914, on en était honteux à présent. Tout ce qu'on touchait était truqué, le sucre, les avions, les sandales, les confitures, les photos ; tout ce qu'on lisait, avalait, suçait, admirait, proclamait, réfutait, défendait, tout cela n'était que fantômes haineux, truquages et mascarades. Les traîtres eux-mêmes étaient faux. Le délire de mentir et de croire s'attrape comme la gale. » Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit.

5 mois ago

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L'Ascension, Giotto, 1304-1306.

5 mois ago

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7/9

« C'est effrayant de penser qu'on subsiste au milieu d'une foule de morts qu'on croit des vivants ; que l'ami, le compagnon, le frère peut-être qu'on a vu ce matin [...] est à peine distinct, en réalité, de ceux qui se liquéfient dans les tombeaux. »

Léon Bloy — Dans les ténèbres.

📷 @auroregreindl

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« C'est effrayant de penser qu'on subsiste au milieu d'une foule de morts qu'on croit des vivants ; que l'ami, le compagnon, le frère peut-être qu'on a vu ce matin [...] est à peine distinct, en réalité, de ceux qui se liquéfient dans les tombeaux. » Léon Bloy — Dans les ténèbres. 📷 @auroregreindl

5 mois ago

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8/9

« L'optimisme est une fausse espérance à l'usage des lâches et des imbéciles. L'espérance est une vertu, virtus, une détermination héroïque de l'âme. La plus haute forme de l'espérance, c'est le désespoir surmonté. »

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« L'optimisme est une fausse espérance à l'usage des lâches et des imbéciles. L'espérance est une vertu, virtus, une détermination héroïque de l'âme. La plus haute forme de l'espérance, c'est le désespoir surmonté. »

7 mois ago

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