Gregor Ovitch

Comprendre « l’affaire » Hillard-Soral | En direct avec Gregor Ovitch

Par Haltérophilo, il y a 3 moisseptembre 18, 2024

L’effroyable imposture de Trump et du 13 juillet | L’actualité à l’endroit #9

Par Haltérophilo, il y a 5 moisjuillet 14, 2024

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L'immigration, un mot dénaturé !

#immigration#rn #rassemblementnational #jordanbardella #migrants #islam #mensonge #tendance #politique

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L'immigration, un mot dénaturé ! #immigration#rn #rassemblementnational #jordanbardella #migrants #islam #mensonge #tendance #politique

1 semaine ago

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1/9

« Le devoir de l'homme est tellement d'être riche que la présence d'un seul pauvre clame vers le ciel, comme l'abomination de Sodome, et dépouille Dieu lui-même, le forçant à s'incarner et à
se promener scandaleusement sur la terre, vêtu seulement de la guenille de ses Prophéties. »

Léon Bloy, Exégèse des Lieux Communs, Éditions Meystre, 2024.

@editionsmeystre

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« Le devoir de l'homme est tellement d'être riche que la présence d'un seul pauvre clame vers le ciel, comme l'abomination de Sodome, et dépouille Dieu lui-même, le forçant à s'incarner et à se promener scandaleusement sur la terre, vêtu seulement de la guenille de ses Prophéties. » Léon Bloy, Exégèse des Lieux Communs, Éditions Meystre, 2024. @editionsmeystre

3 semaines ago

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2/9

Le 19 septembre 1846, deux enfants disent avoir rencontré une « Belle Dame » dans les alpages où ils faisaient paître leurs vaches, au dessus du village de La Salette. Maximin Giraud a 11 ans et Mélanie Calvat 14 ans.

D’abord assise et toute en larmes, la « Belle Dame » se lève et leur parle longuement, en français et en patois, de « son Fils » tout en citant des exemples tirés du concret de leur vie. Elle leur laisse un Message en les chargeant de le « faire bien passer à tout son peuple ».
Toute la clarté dont elle est formée et qui les enveloppe tous les trois, vient d’un grand Crucifix qu’elle porte sur sa poitrine, entouré d’un marteau et de tenailles. Elle porte sur ses épaules une lourde chaîne et, à côté, des roses. Sa tête, sa taille et ses pieds sont entourés de roses. Puis la « Belle Dame » gravit un raidillon et disparaît dans la lumière.

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Le 19 septembre 1846, deux enfants disent avoir rencontré une « Belle Dame » dans les alpages où ils faisaient paître leurs vaches, au dessus du village de La Salette. Maximin Giraud a 11 ans et Mélanie Calvat 14 ans. D’abord assise et toute en larmes, la « Belle Dame » se lève et leur parle longuement, en français et en patois, de « son Fils » tout en citant des exemples tirés du concret de leur vie. Elle leur laisse un Message en les chargeant de le « faire bien passer à tout son peuple ». Toute la clarté dont elle est formée et qui les enveloppe tous les trois, vient d’un grand Crucifix qu’elle porte sur sa poitrine, entouré d’un marteau et de tenailles. Elle porte sur ses épaules une lourde chaîne et, à côté, des roses. Sa tête, sa taille et ses pieds sont entourés de roses. Puis la « Belle Dame » gravit un raidillon et disparaît dans la lumière.

3 semaines ago

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3/9

« Autrefois, lorsque l’abolition du sens des mots n’avait pas encore été promulguée, l’honneur d’une famille consistait à donner des Saints ou des Héros, tout au moins d’utiles serviteurs de la chose publique. Cela, qu’on fût riche ou pauvre, qu’on eût des ancêtres illustres ou qu’on n’en eût pas. Dans ce dernier cas, on montait simplement et naturellement dans l’aristocratie, par la seule nature des choses. »

Exégèse des Lieux Communs, Léon Bloy, Éditions Meystre, 2024.

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« Autrefois, lorsque l’abolition du sens des mots n’avait pas encore été promulguée, l’honneur d’une famille consistait à donner des Saints ou des Héros, tout au moins d’utiles serviteurs de la chose publique. Cela, qu’on fût riche ou pauvre, qu’on eût des ancêtres illustres ou qu’on n’en eût pas. Dans ce dernier cas, on montait simplement et naturellement dans l’aristocratie, par la seule nature des choses. » Exégèse des Lieux Communs, Léon Bloy, Éditions Meystre, 2024. @editionsmeystre

3 semaines ago

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4/9

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Bring me the pudding ! Émission en direct sur ma chaîne YouTube ! https://t.me/halterophilo

3 semaines ago

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5/9

🚨 « Le bien qui ne peut naître que du bien ! »

Entrevue avec @pierrehillard.officiel

La suite sur ma chaîne YouTube

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4 mois ago

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6/9

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🚨 « C’est l’Église qui est le socle et rien d’autre. » En direct avec Pierre Hillard, suite ici : 🔗https://youtube.com/live/FwpMu0r75-I https://t.me/halterophilo

5 mois ago

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7/9

« Nous voulons que la nation nous délivre du joug des congrégations économiques, des chantages de presse, de la tyrannie des comités, du fléau des orateurs, du poison des sociétés secrètes, de la stupidité des démagogues. »

Henri Béraud, 1944.

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« Nous voulons que la nation nous délivre du joug des congrégations économiques, des chantages de presse, de la tyrannie des comités, du fléau des orateurs, du poison des sociétés secrètes, de la stupidité des démagogues. » Henri Béraud, 1944.

5 mois ago

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8/9

Albert Anker est né en 1831 à Anet, dans le Seeland. Il a suivi une formation classique de peintre dans l’atelier du Vaudois Charles Gleyre à Paris. Dans ses débuts, il a exploré un style artistique influencé par le classicisme de Jean-Auguste-Dominique Ingres.

Homme cultivé, lisant des livres dans 5 langues différentes, Albert Anker s’est intéressé aux questions sociales, politiques et éducatives de son époque. Dans ses tableaux, il ne dénonce pas, mais illustre les valeurs rurales et bourgeoises dans un style pictural réaliste. Toutefois, les lecteurs de journaux ou les élèves d’Anker témoignent aussi de l’émancipation d’une population rurale qui aspire à devenir une communauté de citoyens bien informés et responsables. C’est à Albert Anker que l’on doit les plus beaux portraits d’enfants que le réalisme du XIXe siècle ait produit en Europe.

Albert Anker (1831-1910), Le soldat de 1830 revenant au pays (retour au pays), 1872, huile sur toile, 60 x 87 cm.

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Albert Anker est né en 1831 à Anet, dans le Seeland. Il a suivi une formation classique de peintre dans l’atelier du Vaudois Charles Gleyre à Paris. Dans ses débuts, il a exploré un style artistique influencé par le classicisme de Jean-Auguste-Dominique Ingres. Homme cultivé, lisant des livres dans 5 langues différentes, Albert Anker s’est intéressé aux questions sociales, politiques et éducatives de son époque. Dans ses tableaux, il ne dénonce pas, mais illustre les valeurs rurales et bourgeoises dans un style pictural réaliste. Toutefois, les lecteurs de journaux ou les élèves d’Anker témoignent aussi de l’émancipation d’une population rurale qui aspire à devenir une communauté de citoyens bien informés et responsables. C’est à Albert Anker que l’on doit les plus beaux portraits d’enfants que le réalisme du XIXe siècle ait produit en Europe. Albert Anker (1831-1910), Le soldat de 1830 revenant au pays (retour au pays), 1872, huile sur toile, 60 x 87 cm.

5 mois ago

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